Le judaïsme craignait plus que tout : l'idolâtrie.
Aussi le ‘Dieu unique’, n’avait-il aucune image, aucun nom prononçable. Lui même étant le créateur de toute chose, sur terre et dans les cieux, rien, vraiment Rien ne pouvait être divinisé : ni homme, ni statue, ni astre ; aucune ‘nature’ ni aucun pouvoir …
Jésus, lui-même s’est inscrit dans cette tradition. Lui-même, le seul qui puisse être comparée à l’icône divine. Lui-même s’est fait le plus humble, d’entre nous… pour disparaître.
Jésus, né parmi un peuple asservi. Jésus, dont on ne connaît que trois années, de sa vie. Jésus humilié jusque dans la mort. Jésus qui n’a rien laissé… d’autre que le témoignage de ceux qui de génération en générations, le rencontrent, au plus intime d’eux-mêmes : le seul espace occupé par Dieu…
La suite de mon article, et d'autres:
vendredi 29 janvier 2010
samedi 9 janvier 2010
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